J. Rifkin, dans son ouvrage polémique étayant la thèse - non moins discutée - de la fin du travail, estime que "comme le tiers secteur repose à la fois sur le marché et sur l'État pour sa survie, son avenir dépendra pour une large part de la création d'une nouvelle force politique susceptible de faire pression sur le secteur privé comme sur les pouvoirs publics pour obtenir le transfert d'une partie des énormes bénéfices de la nouvelle économie de l'information dans la création de capital social et la reconstruction de la société civile".