En ce temps de crise des légitimités culturelles, il est pour le moins pertinent de faire le point sur les statuts des productions qui en sont l'objet. Et ce, quelle que soit leur position au sein du marché concerné, jusqu'il y a peu dominante ou, inversement, dominée. Se focaliser sur la bande dessinée parmi ces productions s'avère particulièrement de circonstance, pour peu que l'on tienne compte de la critique qui lui est faite.