L'articulation de la gouvernance et de l'État constitue sans nul doute un point d'interrogation important pour comprendre l'évolution des institutions politiques dans leur quête tout à la fois d'une nouvelle légitimité mise à mal par les échecs successifs des États-Providence (années 1970-1980) puis des États néolibéraux (années 2000) d'articuler des politiques, sociales en particulier, tout à la fois universalistes, effectives, efficientes et démocratiques.