Philosophes et psychiatres nourrissent des capillarités secrètes et des questionnements communs. Souvent, la méditation du philosophe se met à l'école de ces situations et de ces visages de l'humain malade qui habitent des masques que l'on croit inhabitables, « horla », et que lui rapporte le psychiatre. Sous le souci de biologiser la maladie mentale, le savoir et le savoir-faire de la psychiatrie font le pari de l'humanité et de la nécessité de la relation...