De tradition, le lexicographe est reticent a faire figurer dans les dictionnaires de la langue generale nombre d'unites du lexique que l'usager qualifiera intuitivement de "mots". Ainsi, les toponymes et anthroponymes sont exclus, car ils ne possederaient pas de signifie et seulement une reference unique. L'argument de l'intraduisibilite des noms propres a fait long feu et l'ingenierie linguistique ne peut faire l'economie d'une description detaillee de leur usage...