À l'heure où divers discours suggèrent un « retour du féminin », et alors que certains suggèrent que ce « féminin » de l'Être relève d'une forme spécifique d'amour érotique, la philosophie académique est amenée à se positionner. Dans quelle mesure peut-on affirmer que le rapport de la femme au monde, au corps, à l'amour, à la spiritualité, à la vérité ou à la sagesse diffère de celui de l'homme ?