Ces histoires qui campent le vécu d'un anthropologue africaniste en matière de pluie et de puits, de barrages et de lacs, ne doivent pas être lues comme une contribution de plus à la dimension culturelle de l'eau - une dimension qui parfois favorise mais souvent freine une saine gestion des ressources hydriques. Elles suggèrent plutôt que l'eau est essentiellement, entièrement et exclusivement un phénomène culturel.