Depuis les années 1980, la littérature faite par les enfants de l'immigration maghrébine suscite des vifs débats. Déclarée dès le départ "un enfant mort-né", elle n'a cessé d'évoluer dans ses pratiques de décalage et de décentrement, ce qui en témoigne la vitalité.
Après un premier tome, ce second recueil d'essais entre dans la fibre du tissu textuel pour en analyser les enjeux linguistiques et - pour la première fois de manière systématique - les défis traductologiques.