Cet ouvrage propose une étude fouillée, de longue haleine, qui comble une réelle lacune. Ayant choisi de travailler sur un exigeant corpus de textes mathématiques, l'auteur s'est essayée à caractériser dans ses composantes centrales l'architecture relationnelle ("logique") du discours scientifique, ce qui l'a amenée à se pencher sur les relations "verticales" de généralisation et de particularisation. Ces relations constitutives du discours scientifique sont l'objet d'une analyse linguistique approfondie.