L'ouvrage interroge d'un point de vue strictement linguistique le texte théâtral de Jean Luc Lagarce "Juste la fin du monde", et plus précisément à travers les modalités de la représentation de l'oral qu'il construit tant sur le plan énonciatif que typographique et syntaxique. Si la langue ici montrée emprunte à l'oral ordinaire des formes linguistiques qui rendent saillante la discontinuité du flux de paroles spontané, dans le même temps, elle exhibe également la continuité du fil du discours qui se voit toujours relancé.