Au début du XXe siècle, les théories liées au substrat biologique, aux conditions de la communication, au statut des langues dans l'imaginaire des communautés, aux mécanismes logiques qu'elles mettent en oeuvre, à la traduction des cultures dans le cadre dialogal et interculturel comme à leur affrontement rhétorique trouvent dans les écoles linguistiques des réponses diverses. Leurs présupposés posent la question de leur compatibilité et de la possibilité d'une science globale du langage.